Les thématiques prioritaires pour nourrir l’architecture éditoriale
<p>Cette histoire est, elle-même, nourrie des thématiques prioritaires et légitimes. Ce n’est pas le tout d’avoir envie de parler, il faut un sujet et une audience qui s’y intéresse. A cela, il faut encore ajouter la légitimité de la marque sur le sujet en question. Difficile d’aborder la protection de la nature lorsque l’on est un acteur de l’extraction pétrolière ou d’évoquer la haute-couture quand on est une marque populaire ou encore de vouloir parler au grand public alors que sa marque est spécialisée dans un secteur niche en BtoB.</p><p>Ces thématiques sont donc le fruit du croisement entre ce que la marque à dire et les attentes des audiences. A partir de ces thématiques, il est possible de développer d’innombrables sujets puis de les produire en fonction des formats de prédilection pour chacune des audiences. Bref, ne jamais démarrer par « si on faisait un motion » ou « faites-moi un format à la Brut. » Vous ne ferez qu’ajouter des couches de contenus et participer au brouhaha de la communication.</p><p>Remettre en cause son architecture éditoriale a aussi, pour premier bénéfice de s’assurer de sa solidité de ses fondations dans un environnement de communication très changeant. S’inquiéter d’en avoir une, c’est reconsidérer, avec méthode, son écosystème médiatique.</p><br>